[Le MCU pour les nuls #1] Iron man

Marvel

Bien le bonjour ! Me voici en cette toute nouvelle année 2022 (may the odds be ever in your favor, d’ailleurs), prête à m’adonner à mon hobby favori : me lancer dans un énième marathon Marvel (on a les hobbies qu’on mérite, et je trouve que je mérite excessivement le mien). Mais, me suis-je dit, quitte à recommencer tout depuis le début – pour rappel le Marvel Cinematic Universe, alias MCU, compte actuellement 27 films et 5 séries, le tout représentant 59 heures de visionnage (je compte ici seulement les phases officielles, comme le reste n’est pas clair) – est-ce que j’essaierai pas d’en faire quelque chose ? (notez et retenez que j’ai dit « quelque chose », pas « quelque chose de pertinent/utile/intelligent »)

Une idée absurde en entraînant une autre, j’en arrive donc ici, prête à vous faire profiter de mon savoir intarissable (non) sur ces contenus du MCU.

A qui s’adresse cette série d’articles ma bonne dame ?

Si vous cherchez des informations sérieuses, vérifiées, dénuées de toute subjectivité et de toute trace d’humour, je préfère vous avertir : vous n’êtes peut-être (sûrement) pas au bon endroit. En revanche, si vous vous ennuyez profondément, que vous aimez les films Marvel et que vous avez envie de lire des trucs idiots dessus, peut-être, je dis bien peut-être, que vous trouverez de quoi vous divertir quelques minutes dans ce qui va suivre.

Et si vous avez envie d’en découvrir plus sur le MCU, mais que vous avez la flemme de vous palucher tous les films (parce que bon, quand même, 59 heures de visionnage) et que vous cherchez un moyen potentiellement rigolo de savoir de quoi il en retourne, je vous souhaite la bienvenue, mais je ne me porte pas garante de ce que vous trouverez dans les tréfonds de cet article…

Informations plus ou moins pertinentes de contexte : le MCU c’est quoi ?

Déjà, je vous avoue que j’ai un peu peur si vous cherchez la réponse première à cette question ici, mais ne nous laissons pas abattre et essayons d’être sérieux deux minutes (pas plus, promis). Le MCU, ou Marvel cinematic universe, et donc univers cinématographique Marvel pour les francophones (mais UCM c’est pas méga sexy, et apparemment c’est déjà pris par un syndicat belge), c’est une IMMENSE saga cinématographique, produite par Marvel studios (le sang) qui met en scène à travers des millions (ok, j’exagère un poil) de films et séries un même univers dans lequel évoluent des super-héros Marvel (forcément). Et donc comme c’est le même univers, ils peuvent passer d’un film à l’autre oklm, ils se connaissent tous, ils se font des bouffes, des battles communes, c’est un peu le crossover ultime (au cinéma, parce qu’en comics ça existait évidemment déjà). En gros, c’est un joyeux bordel (et attendez qu’on parle du multivers, mais rassurez-vous ça ne sera pas avant encore quelques articles).

Vous suivez jusqu’ici ? Parfait (je pars du principe que vous avez répondu oui).

Donc dans cette série d’articles (enfin le projet c’est d’en faire une série, on verra si la réalité me suivra), je compte reprendre un à un les films et séries, dans l’ordre de sortie (l’ordre des noobs), et vous en donner ma vision-qui-vaut-ce-qu’elle-vaut.

Et on commence donc par… *roulement de tambours* (faites comme si c’était pas le titre de l’article)

IRON MAAAAAAAAAAAAN !

Sorti en 2008, réalisé par Jon Favreau, et d’une durée de 126 minutes, pour le reste des platitudes je vous renvoie vers sa fiche Wikipedia (mais revenez après hein !)

De quoi ça cause ? (aka le synopsis)

Tony Stark, un gars pété de thunes et un brin mégalomane à la tête d’une entreprise spécialisée dans l’armement, se rend faire ses petites affaires de vente d’armes de destruction massive en Afghanistan. Sur place, il découvre avec stupeur et consternation (après avoir été enlevé par des terroristes assez peu conciliants) que ses joujoux sont peut-être tombés entre les mains des mauvaises personnes, mince alors. Comme c’est un génie du bricolage, le McGyver ultime, il profite de son petit confinement dans sa grotte afghane pour construire une armurette du style Géant de fer, qui devrait l’aider à s’échapper et devenir un homme meilleur dans un monde arc-en-ciel débarrassé de la guerre et des armes. Mais tout ne se passera peut-être pas comme prévu, et Tony risque de se retrouver embarqué dans une histoire mêlant des méchants vraiment méchants, du flirt, et des explosions. Beaucoup d’explosions. Et une armure chromée rouge et or qui donne son titre au film.

Hey !

Mais encore ? (aka le résumé spoilant de l’intégralité du film, vous êtes prévenus)

Notre périple commence en Afghanistan, à bord de Hummer blindés branchés sur AC/DC, pour une petite visite touristique dans le désert. Les protagonistes : des militaires et un gars en costard, whisky à la main, en toute détente. Ça picole, ça rigole, et BOUM.

Le Hummer fait un soleil, tout le monde meurt, sauf le gars en costard qui s’échappe et se cache derrière un caillou (bonne idée, il est sûrement plus protecteur que le Hummer qui a fini en gruyère). Un missile, de taille certainement normale pour un missile, atterrit pas loin du caillou (et donc du costard, qui aperçoit par le biais d’un zoom subtil l’inscription “Stark industries” sur le machin), et… BOUM (oui ben c’est un missile quoi).

Le gars est étendu au sol, potentiellement à l’agonie, mais heureusement il se fait sauver par… ah non, il semblerait que ce soit un kidnapping, mais laissons-le quelques instants (le suspense, tout ça tout ça), pour revenir…

36 heures plus tôt, à Las Vegas, la ville de tous les vices (c’est pas moi qui le dis), dans une petite sauterie où nous assistons à une présentation de Tony Stark, bricoleur en chef de Stark industries, génie issu du MIT, leader du business des armes (un gars pacifiste quoi), fils de feu Howard (Stark, pas le canard). 

Lucious Lyon (le padre dans la série Empire) est dans la place pour remettre un Oscar de la science au fameux Tony Stark… qui est en fait le sosie de Philippe Etchebest ?? Ah non, Philippe confirme qu’il n’est pas Tony Stark, celui-ci est occupé au casino à dilapider sa fortune (on est à Vegas, il faut bien voir un casino sinon on n’y croit pas). Lucious (qui s’appelle en fait James Rhodes ou Rhodey, et qui n’est pas du tout producteur de musique mais colonel dans l’armée), que nous continuerons d’appeler Lucious pour les besoins de l’enquête, est un peu chonchon parce que Tony, le playboy riche et insupportable, l’a planté, et ça se fait pas quand on est copains, t’abuses mec.

Tony en a marre de lancer des dés sur un tapis vert, donc il se prépare à partir à bord de sa grosse-berline-noire-avec-chauffeur (un peu cliché le Tony quand même), mais il se fait happer par Christine de Vanity fair, qui a des questions sérieuses sur son business. La gentille Christine lui montre son désaccord, s’ensuit un échange plus ou moins pertinent imprégné de tension sexuelle (évidemment), et BOUM (pas d’explosion cette fois), avance rapide vers un lit dans lequel s’ébattent Christine et Tony (quelle surprise). Ledit lit se trouve dans une maisonnette cossue, située au bord d’une falaise à Malibu, en Californie. Christine est réveillée par Siri, qui vit apparemment dans les murs de cette modeste villa ultra-technologique, et elle décide de faire un tour du propriétaire en l’absence du propriétaire (et en l’absence de pantalon, parce que pourquoi s’encombrer). 

Arrive subrepticement une femme d’apparence un peu guindée mais très professionnelle, qui informe Christine que Siri s’appelle en fait JARVIS, et que maintenant il faut rentrer chez elle, merci au revoir. Christine tente de provoquer celle qu’elle reconnaît comme l’assistante Pepper Potts (c’est son vrai nom, ne riez pas), qui la traite courtoisement de poubelle, et la met au tapis, toujours dans le plus grand professionnalisme.

Pendant ce temps, Tony bricole tranquillement à la cave, Pepper le rejoint pour lui annoncer que la mission éjection de Christine est accomplie (c’est classe ça Tony), et qu’il faudrait qu’il se bouge le derrière parce qu’il a un avion à prendre. Ils discutaillent un peu sur les problèmes de riches de Tony que son propre jet ne veut pas attendre, sur l’art, Pepper annonce que c’est son anniversaire, et mais c’est qu’il y a un peu de flirt dans l’air dites donc.

Fidèle à son playboy style et aux meilleures pubs de voiture, Tony nous montre que son bolide peut rouler de manière très fluide (comprenez au milieu de la route) et rapide (comprenez rapide) pour rejoindre l’aéroport. Lucious fait le pied de grue devant l’avion, il est encore un peu chonchon parce que ça fait 3 heures qu’il attend, non mais vraiment t’abuses mec. Heureusement Tony a la bonne idée de proposer un verre de Champomy qui détend instantanément Lucious, qui se trouve avoir l’alcool relou (vous savez, le gars qui s’avachit sur les autres pour leur raconter sa vie et ses problèmes, pendant des heures). 

L’avion arrive en Afghanistan (oui parce qu’on a un plan à suivre quand même), et Tony le playboy (en costard donc) fait une petite réunion Tupperware en plein milieu du désert (imaginez des armes et autres engins explosifs à la place des Tupperware) avec ses petits potes de l’armée. Il leur présente le joyau de sa collection, le dénommé Jericho-qui-fait-tout-péter. La réunion Tupperware est un succès, Tony va devenir plus riche que l’oncle Picsou, donc pour fêter ça il paie l’apéro (le garçon est assez porté sur la boisson). Sans raison aucune, Philippe (enfin son sosie, qui s’appelle apparemment Obadiah Stane et est le numéro 2 de Stark industries, mais on va continuer de l’appeler Philippe, c’est plus visuel) l’appelle en Facetime depuis son lit (et visiblement il ne porte pas de pyjama).

Et comme 36 heures se sont écoulées, et que le film ne peut pas durer 4 heures, ni cet article faire 10 000 mots, retour au kidnapping si vous le voulez bien.

Tony le playboy-en-piteux-état se réveille dans une grotte somme toute cosy, avec un tuyau beaucoup trop long dans le nez (qu’il retire lentement devant la caméra, dans une scène qui devrait être interdite aux moins de 75 ans). Il découvre que son cœur est relié à une batterie, et se dit “wow mais j’ai fait quoi hier soir ?”. Mais comme on n’est pas dans Very bad trip, il a directement la réponse à sa question, grâce à son nouveau colocataire, le Dr Frankenstein, qui s’ennuyait et voulait voir ce que ça faisait de relier quelqu’un à une batterie de voiture. Spoiler alert : c’est rigolo, mais pas pratique pour se mouvoir par la suite. Le Dr Frankenstein, que nous appellerons Yinsen (parce que c’est son nom) informe Tony que le BOUM du précédent missile lui a laissé quelques souvenirs dans le corps, près de son cœur, et qu’il vaut mieux éviter de rigoler bruyamment ou danser la Macarena. Et la batterie sert en fait à alimenter un électroaimant qui éloigne les éclats dangereux de son cœur. Bien bien.

Les méchants trouvent que Yinsen commence à devenir chiant, donc ils font irruption gaiement dans la grotte, pour saluer leur nouvel invité. Ils ne parlent pas anglais, donc on ne bite rien à ce qu’ils racontent, mais SURPRISE, Yinsen est bourré de talents, puisqu’il a pris option traduction lors de son BEP mécanique. En gros, les méchants veulent que Tony leur fabrique généreusement le Jericho-qui-fait-tout-péter, mais il refuse parce que c’est un gentil (il ne fabrique des armes que pour l’armée vous comprenez, il a des principes quand même). Le méchant le bouscule un peu en lui faisant prendre une noyade du visage, puis ils vont faire une petite promenade de santé dans le camp des terroristes (parce que c’est important de s’aérer en toutes circonstances, ça recharge les batteries). Tony qui pensait réellement jusqu’ici être le gars le plus clean de la Terre découvre que les terroristes sont équipés de dizaines d’armes en provenance de Stark industries. Merde alors. Du coup, foutu pour foutu, il conclut un deal avec le bad guy, il va le lui construire son Jericho, il suffisait de demander gentiment finalement, allez tope là.

Les méchants fabriquent un super-atelier dans la grotte (pourquoi pas après tout, ne soyons pas étroits d’esprit), et c’est parti pour 10 minutes de Pimp my ride, avec Tony en animateur déterminé mais pas super loquace, sauf quand il décide de s’inquiéter un peu de sa situation actuelle :

Mais au fait Yinsen, c’est qui ces gars pas très gentils ?
– C’est un petit club de terroristes qui se font appeler les Dix anneaux, ils sont très très méchants, j’espère que t’es content de toi.

Reprise du bricolage. Et attention, twist, Tony révèle à son compagnon de grotte qu’il ne construit pas le Jericho-qui-fait-tout-péter, mais un truc qui permettrait d’alimenter l’aimant à l’aide d’une technologie miracle, parce que merci mais c’est quand même un peu encombrant ta batterie là. Et puis tant qu’à faire, il va construire un cosplay du Géant de fer, pour rigoler un peu avant de potentiellement se faire descendre.

Les gars des Dix anneaux, qui ont installé dans la cave un réseau de surveillance digne des meilleurs supermarchés américains, commencent à se dire qu’il y a une couille dans le pâté, si Tony est en train de construire le Jericho-qui-fait-tout-péter, pourquoi est-ce qu’il est en train de faire des essais avec une jambe métallique articulée en toute indiscrétion devant la caméra ? (oui hein, pourquoi ?) 

Le boss (chauve) du camp (qui parle anglais) se ramène avec son air menaçant, parce que ça commence à bien faire. Il propose de faire un barbecue dans la bouche de Yinsen, Tony réussit à le convaincre que ça risque de ne pas être très ragoûtant, et le chauve accepte généreusement de leur laisser jusqu’au lendemain pour finir le missile.

Pressé par le temps, Tony a enfilé un marcel et son meilleur air de forgeron sexy pour finir ce qu’il a à faire (son cosplay donc, souvenez-vous que l’histoire du missile est une feinte). Après ce qui semble être une très longue nuit, il enfile sa nouvelle armure (à l’aide de Yinsen parce que c’est quand même galère ce machin). Pendant ce temps, les méchants qui ne sont pas méga vigilants finissent par se rendre compte qu’ils ne voient plus Tony à la caméra, les gardes tentent d’ouvrir la porte… et BOUM (oui ça explose tout le temps dans ce film). C’est le signal, il est temps de se barrer… ah mais attendez, il faut que l’armure charge via l’ordinateur, et apparemment ils sont sous Windows 95 donc il y en a pour un moment. Fort heureusement, il semble y avoir 10 kilomètres entre la salle de surveillance et la grotte, que les terroristes parcourent probablement à cloche-pied vu le temps qu’ils mettent à arriver. Mais Windows 95 étant encore plus lent qu’eux, Yinsen décide unilatéralement d’aller jouer au héros pour faire gagner du temps à Tony. Merci Yinsen, c’était sympa de te connaître, bisous.

Le chargement arrive enfin à son terme, Tony peut donc sortir tranquillement de sa grotte, dans son armure invincible du Géant de fer, qui résiste aux balles… qui peut détruire des portes en acier… qui résiste également aux missiles… et qui tremble à peine devant un énorme comité d’accueil armé de mitraillettes (ça c’est du cosplay). Elle a même l’option lance-flammes, toujours pratique pour nettoyer le terrain, et faire brûler le conséquent stock d’armes qui attendait dehors. Attendez, un stock d’armes qui brûle ? BOUMBOUMBOUM (ceci est un feu d’artifice). Ah ben l’armure du Géant de fer peut également voler (dites donc), avant de se désintégrer lamentablement quelques kilomètres plus loin (parce que faut pas pousser non plus).

Tony réenfile son marcel pour errer dans le désert, sans but et sans… Oh un hélico ! Oh ben Lucious tu tombes bien dis donc ! 

Après 3 mois de colonie, retour à la maison pour le playboy, accueilli par Pepper et Happy (le chauffeur de Tony, dont on n’a pas encore parlé parce qu’il ne sert à rien dans ce film). Comme tous les hommes du peuple, Tony a des envies simples : un cheeseburger et une conférence de presse. Une fois la première assouvie, le petit groupe se rend donc dans les locaux de Stark industries, où Tony est accueilli en fanfare. Philippe (qui est chauve, pas du tout suspect, et qui s’est rhabillé depuis son Facetime) est ravi du retour de son protégé.

Place à la conférence de presse, au début de laquelle Pepper se fait accoster par un petit bonhomme en costume, qui se présente comme l’agent Phil Coulson du Strategic Homeland Intervention Enforcement Logistics Division, qui souhaiterait parler à Tony du bordel qu’il a mis en Afghanistan. Mais ce n’est pas le moment, Tony a une annonce à faire : il a eu une révélation durant sa captivité, les armes c’est mal, donc il ferme la branche armement de Stark industries, merci et à bientôt !

Bizarrement, Philippe n’a pas bien pris la nouvelle, qui a fait chuter la société en bourse, et il arrive armé de son plus gros cigare et de son ton paternaliste (aucun de ces éléments n’étant suspect) pour avoir une discussion avec Tony. Celui-ci essaie de le convaincre de se lancer dans la technologie arc (le truc qu’il a bidouillé à la place de l’aimant), il lui ouvre son cœur (littéralement) et ils se réconcilient.

On passe dans la cave de Tony (dans sa maison cossue de Malibu là, vous savez), où ils font une partie de Dr Maboul grandeur nature avec Pepper pour remplacer le réacteur arc dans la poitrine de Tony, ce qui est aussi dégoûtant qu’on peut l’imaginer. Le garçon étant ni sentimental, ni capable de se débrouiller tout seul, il demande à Pepper de jeter le précédent réacteur.

Tony, qui aime apparemment passer du temps dans sa cave, et qui s’ennuie maintenant qu’il ne peut plus construire d’armes, décide de se lancer dans un projet top secret à l’aide de JARVIS l’intelligence artificielle : Mark-II.

Pendant ce temps dans le désert, le chef-chauve n’est pas mort, et il joue à cache-cache dans le sable avec le cosplay du Géant de fer.

Retour chez Tony, à nouveau en marcel et toujours dans sa cave, essayant des chaussures volantes, puis un gant inoffensif, qui explose sous les yeux d’une Pepper affolée (ou dépitée, on ne sait plus trop à force). Elle finit par se rappeler qu’elle venait informer son patron que Philippe s’était incrusté. Celui-ci (qui s’est installé au piano comme s’il était chez lui, non mais vas-y te gêne pas surtout) vient annoncer à Tony que le conseil d’administration veut l’écarter, et évidemment lui n’y est pour rien, il essaie même de le défendre. Il montre à nouveau un intérêt un peu trop insistant pour le cœur de Tony (pour son réacteur arc, si l’on veut être exacts, mais est-on ici pour de l’exactitude ?), qui refuse de partager ses secrets et retourne dans sa cave (la version adulte et mature de l’enfermement dans la chambre).

Nouvelle séquence bricolage, l’armure vole et le casque est connecté à JARVIS, on est sur un upgrade de qualité. Comme Tony n’a pas froid aux yeux (il a un casque après tout), il part tester sa toute nouvelle armure dans le ciel californien, contre l’avis de JARVIS (dont le i du nom veut dire intelligent, just saying). Après quelques essais concluants, il se dit que ça serait rigolo et pas du tout dangereux de voir jusqu’à quelle altitude peut monter son nouveau joujou. Sauf que (pour des raisons scientifiques que nous n’expliciterons pas ici pour cause d’ignorance) l’armure gèle et tombe. Tony, qui devrait penser à jouer au loto, réussit à s’en sortir en faisant redémarrer l’armure au dernier moment et rentre chez lui, où il casse le piano à l’atterrissage (piano sur lequel n’était plus assis Philippe, ce qui aurait pourtant permis de régler plusieurs problèmes, mais on ne m’a pas demandé d’écrire le scénario).

Pepper Potts, qui est une assistante pleine d’esprit malgré son nom vraiment nul, a laissé un cadeau à Tony : elle a fait encadrer le réacteur (qu’il lui avait explicitement demandé de jeter après leur partie de Dr Maboul), sur lequel est dorénavant gravé “Proof that Tony Stark has a heart” (la preuve que Tony Stark a un cœur). Allez, on lui accorde un 7/10 pour la vanne.

Léger aparté du côté des terroristes, qui ont fini le cache-cache et ont commencé un puzzle avec l’armure du Géant de fer (c’est que ça manque pas d’activités créatives dans ce désert afghan).

Alors que Tony est encore et toujours en train de bricoler dans sa cave/atelier/garage, il apprend par la télé qu’il organise un gala de charité en ce moment-même au Disney concert hall. Se sentant un peu concerné même si son invitation s’est visiblement perdue en route, il décide de s’y rendre, armé de sa discrétion habituelle. 

Au gala de charité, Tony se fait accoster par l’agent Coulson (qui aime décidément bien accoster les gens), qu’il laisse un peu en plan pour aller flirter avec Pepper. Les tourtereaux en devenir sortent prendre l’air (puisqu’on n’oublie pas le conseil santé concernant l’aération), ils sont sur le point de s’embrasser eeeeeet… ben en fait non, Pepper a envie d’un verre.

Pendant que Tony va galamment lui en chercher un, il se fait sauter dessus (pas littéralement) par Christine-de-Vanity-fair qui aimerait qu’il s’explique sur une livraison d’armes la veille à des terroristes (photos à l’appui parce que Christine est une bonne journaliste), alors qu’il était censé stopper le business, hein hein hein ? Tony est confus, mais enfin Christine de quoi tu causes, il se dit qu’il y a peut-être un loup dans la bergerie, mais qui pourrait bien être suspect ? OH ben surprise, c’est Philippe ! Ca alors, il avait pourtant l’air si innocent avec son look de chauve baraqué qui fume le cigare (pardon s’il y a des chauves baraqués qui fument le cigare dans l’assistance, ne faisons pas de généralités). Comme tout bon méchant slash traître qui se respecte, Philippe avoue donc à Tony qu’il est bien responsable de sa mise au placard, mais précise que c’était pour son bien. Ah ben ça va alors.

Malgré tout, Tony ne prend pas très bien la nouvelle, il rentre chez lui et se défoule un peu à l’aide de son gant inoffensif. Qui n’est en fait pas du tout inoffensif, y a de la casse. Mais bon, c’est pas grave il est riche.

Toujours devant la télé dans sa cave (quel glandeur), Tony a la confirmation de ce que lui avait dit Christine, à savoir que les méchants des Dix anneaux attaquaient gratuitement un village (le village d’où était originaire feu Yinsen, d’ailleurs) grâce aux armes que son entreprise leur avait gentiment fournies. Il est chonchon, mais il a une idée lumineuse, il enfile donc sa toute nouvelle armure (qui a été peinte en rouge et or par JARVIS pendant le gala). C’est stylé, mais ça prend environ 5 minutes son bazar, faut pas avoir une urgence hein.

Il décolle donc direction… l’Afghanistan, ça lui manquait ! (oui c’est pas la porte à côté, mais eh, il vole). Il retrouve les terroristes, leur pète la gueule, et fait exploser tout leur stock d’armes, allez bye, problème réglé. Au retour, il nous offre une scène de pur blockbuster militaire américain, avec l’armée de l’air qui tente d’identifier l’ovni qu’il représente, puis bon dans le doute on va envoyer des avions le descendre hein, on tire d’abord, on pose les questions après. Tony aurait pu être sauvé in extremis par Lucious (toujours lui, c’est quand même fort pratique d’avoir un copain qui a apparemment les pleins pouvoirs sur l’armée), mais comme finalement ce dernier ne sert à rien, il ne devra son salut qu’à son sauvetage de l’un des pilotes qui tentaient de le fusiller 2 minutes plus tôt, et qui avait été éjecté de son avion.

Tony rentre au bercail, et se fait surprendre par Pepper alors qu’il est en galère monumentale pour enlever son armure (l’étape habillage/déshabillage est vraiment à retravailler si je peux me permettre).

Retour au camp des méchants (celui où ils font des loisirs créatifs), une grosse voiture américaine arrive, et devinez qui est dedans (ça va vous surprendre) ? PHILIIIIIPPE. Quel petit filou ce Philou (ok 1,5/10 pour celle-là). Non content d’avoir trahi Tony en beauté, il évoque en toute détente avoir commandité le kidnapping et le meurtre du playboy aux marcels, parce qu’il veut être calife à la place du calife. C’est moche ça Philippe, très moche. Le chef-chauve des terroristes (tout le monde est chauve dans ce film, il va falloir vous y faire) montre avec fierté à Philippe qu’il a fini son puzzle. Philippe, qui est définitivement une personne très méchante, décide de tuer son confrère chauve (avec des ultrasons, c’est dangereux les ultrasons), et tous ses soldats, comme ça on en parle plus. Il embarque aussi le puzzle terminé du cosplay du Géant de fer, sait-on jamais ça pourrait servir.

De son côté, Tony, se lance dans un nouveau projet : comme il a trouvé ça sympa de faire exploser tout ce stock d’armes en Afghanistan, il voudrait réitérer l’expérience avec toutes les armes Stark du mooonde. Mais il a un peu la flemme d’aller à la pêche aux infos lui-même, donc il décide de sacrifier sa dévouée assistante Pepper en l’envoyant dans la gueule du loup, à savoir les bureaux de Stark industries. Pepper n’est pas méga chaude, parce qu’elle a peur pour son patron slash crush, mais l’amour est plus fort que tout, donc elle accepte de s’y rendre, avec une discrétion et une subtilité mémorables. 

Durant sa petite équipée, elle découvre que OMG Philippe est derrière le kidnapping de Tony (bon nous on le savait déjà, t’es un peu lente hein Pepper), elle prend donc l’initiative de copier tous les fichiers qu’elle trouve sur l’ordinateur, avec un peu de chance ça prendra pas des plombes, comme ils sont passés à Windows 98 ? Ah, ben zut, Philippe arrive dans le bureau, c’est tendu (rappelons qu’il vient de descendre dans le plus grand des calmes toute une clique de terroristes). Mais comme Pepper a regardé tous les James Bond et qu’elle a fait le Cours Florent, Philippe n’y voit que du feu, et elle et sa clé USB quittent le bureau sans encombre. En sortant elle croise Coulson qui est toujours là où on ne l’attend pas (non en fait en l’occurrence il était attendu, ça tombe bien), et elle l’embarque avec elle, parce qu’elle a un peu peur de Philou (Etchebest, pas Coulson). Et elle a raison d’avoir peur, le cuistot vient de découvrir son larcin, et il n’est pas content. Du tout.

Gros plan sur Tony, qui répond à un appel de Pepper et… ULTRASON 😮 On dézoome, pour remarquer la présence de Philippe et son bidule magique et fort dangereux (le machin à ultrasons donc, je ne sais pas ce que vous imaginiez), qui informe Tony de l’effet paralysant du truc (oui alors en fait il avait un peu remarqué a priori). Toujours comme tout bon méchant qui se respecte, Philippe révèle ses plans diaboliques à Tony, il vole son cœur (bon ok, le réacteur arc relié à son cœur, mais c’est moins poétique dit comme ça) et lui annonce en partant qu’il va devoir se débarrasser de Pepper et que ça le désole fortement (on te croit Philippe).

Pendant ce temps Pepper appelle Lucious pour lui dire qui est le vrai méchant de l’histoire (et ce n’est pas l’armée américaine, rassure-toi Lucious), et que peut-être que Tony est en danger, on sait jamais, va voir stp.

Tony, qui est donc censé être paralysé/mourant/dépourvu de son réacteur arrive miraculeusement à se diriger vers sa cave, avec l’intention de sauver sa peau, parce que rappelez-vous, Pepper avait eu l’idée fort étrange mais qui se révèle finalement fort pratique d’encadrer le précédent réacteur. 

On fait un petit tour du côté de Philippe, qui confie le cœur de Tony au Géant de fer (ou plutôt une nouvelle version environ trois fois plus grande du cosplay évoqué précédemment, parce que Philippe a de la surface). Je voudrais pas vous inquiéter mais ça sent pas bon cette histoire.

Retour chez Tony, avec l’arrivée de Lucious, qui découvre son pote à moitié mort dans la cave… Ah non il faisait juste une petite sieste sur le sol, tout va bien. D’ailleurs, comme il est sacrément robuste malgré tous ces événements, il se dit qu’il peut bien ajouter un petit tour en armure dans le planning de sa soirée, et il se casse. En laissant Lucious seul dans la pièce avec la version précédente de l’armure. Est-ce que celui-ci va se laisser tenter et emprunter (ou voler) l’armure ? Non, il se contente d’un subtil “next time baby”… Hmmm. Est-ce une promesse ? La suite au prochain épisode !

Pendant ce temps, la vaillante Pepper prend l’initiative d’aller arrêter Philippe, accompagnée de Coulson et d’autres gars en costume noir (peut-être le MIB). Ils arrivent dans l’antre du méchant traître, qui surgit dans son armure du Maxi Géant de fer, et attaque Pepper avec beaucoup trop de détermination (mais après tout il voulait la tuer, donc c’est cohérent).

Super-Tony arrive à la rescousse, et on assiste à une battle d’armures en plein milieu de la circulation (parce que ce genre de choses se fait TOUJOURS en plein milieu de la circulation), puis ils s’envolent dans les airs de plus en plus haut. C’est tendu pour Tony qui n’a presque plus de batterie (et se remet vaguement d’une paralysie et d’un arrachage de cœur), mais comme prévu Philippe finit par geler et il tombe depuis méga haut dans le ciel. MAIS visiblement il a atterri sans aucun dommage, il est increvable bon sang.

Tony a une idée, il envoie donc encore la pauvre Pepper en mission suicide, parce qu’elle fait naïvement tout ce qu’il lui demande. Il la renvoie à l’intérieur du bâtiment Stark (où ils ont tous atterri) et lui demande d’appuyer sur un bouton quand il le dira (pour les détails techniques de ce qu’ils foutent à ce moment-là, je vous renvoie vers n’importe qui de plus compétent, tout ce que je vois c’est que ça explose dans tous les sens, je ne suis pas sûre que le CHSCT validerait ces conditions de travail).

Philippe kiffe un peu trop sa vie dans son maxi cosplay (ne jamais trop se réjouir d’un truc, parce que c’est là que ça tourne mal, c’est un peu la leçon n°1 de tous les méchants Philippe, tu devrais le savoir), et Tony donne le signal à Pepper qui appuie sur son bouton. Ca cause un court-circuit monumental puis une explosion qui mettent Philippe KO (je pense qu’on peut même considérer qu’il est mort pour de bon cette fois). Malheureusement Tony a aussi pris une partie du coup de jus, et on nous laisse croire durant 3,5 secondes qu’il a trépassé… 

Mais en fait non, on le retrouve plus en forme que jamais (en tout cas d’un point de vue flirtatoire), en train de se préparer pour raconter à la presse ce qu’il s’est passé, alors que tout le monde se demande qui est celui que les journalistes appellent Iron man… Coulson lui a minutieusement préparé une version des faits à donner, dans laquelle l’armure est portée par un garde du corps, alors qu’il se la coulait douce sur une île déserte loin de là.

L’agent C informe au passage Pepper que le Strategic Homeland Intervention Enforcement Logistics Division a été renommé (ou raccourci) en SHIELD, ce qui envoie bien plus du lourd, reconnaissons-le.

Après une énième séance de flirt avec Pepper, Tony se rend donc dans la salle d’interview, avec ses fiches, prêt à lire la version de Coulson. Mais Tony étant Tony, son discours se transforme en un simple, efficace et imprévu : “I am Iron man”. Euphorie dans l’assistance, et… c’est tout pour le moment ! (eh oui, ça fait 126 minutes, déjà)

Ce qu’il faut retenir (aka les informations qui ont un potentiel intérêt pour la suite)

  • Tony Stark est un génie de la science et de la technologie (oui c’est un peu la base du synopsis, mais je le remets au cas où).
  • L’alchimie très discrète (non) entre Pepper et son patron (qui ne se sont pas embrassés).
  • L’organisation des Ten rings (Dix anneaux) ne plaisante pas trop quand il s’agit d’exterminer des gens qui n’ont rien demandé.
  • Tony aime les cheeseburgers (je vous jure, c’est important).
  • Le SHIELD, on ne sait pas trop ce qu’ils font à part mettre des costumes noirs et accoster les gens, mais retenez-les.
  • La réplique “I am Iron man”, qui est quand même plutôt classe.

Ce que je retiens (aka les informations qui n’ont aucun intérêt mais qui me font plaisir)

L’ouverture avec AC/DC, la quarantaine sexy de Robert Downey junior (et ses marcels), la présence de Coulson et le sarcasme de JARVIS, meilleure IA ever. Et (presque) toutes les scènes Tony/Pepper parce qu’ils sont chouchous.

Ce qu’on préfère oublier (aka les moments gênants, personnages inutiles et j’en passe)

Le Tony too much du début et la manière dont il traite les femmes, c’est pas glorieux mon garçon.
La prestation peu convaincante de Terrence Howard en tant que Rhodey (sorry not sorry). 
Et les scènes où Tony se sort des trucs du corps, C’EST DÉGOÛTANT.

Où est Stan Lee ? (aka les caméos du patron)

Lorsque Tony arrive au gala auquel il n’a pas été invité, et qu’il foule le red carpet acclamé par des groupies en délire, il tape au passage sur l’épaule d’un homme d’un certain âge, de dos, entouré de jeunes femmes, qu’il prend pour Hugh Hefner (le créateur de Playboy). L’homme se retourne, la pipe au bec, and… this is Stan Lee.

La scène post-générique (aka ce que t’as loupé si t’es parti avant la fin)

Après une conférence de presse pour le moins mouvementée, Tony rentre chez lui, accueilli par JARVIS qui lui souhaite la bienvenue… et un mystérieux individu planqué dans l’ombre (parce que quand on s’introduit en douce chez les gens on évite de laisser toutes les lumières allumées), qui se moque un peu de l’égocentrisme de Tony et de son “I am Iron man”, et lui annonce qu’il fait maintenant partie d’un plus grand univers (pololo). Il sort de l’ombre et se présente comme Nick Fury, directeur du SHIELD, qui souhaite parler à Tony de l’”avenger initiative”… FIN 

Mon avis-final-tout-sauf-objectif : 

J’adore ce film. Parce que c’est ici que tout commence, c’est lui qui pose les fondations d’un univers que je suis un peu trop passionnément depuis plus de 10 ans maintenant. Mais aussi parce que c’est RDJ, et que le rôle de Tony Stark lui va à merveille. Parce que ce personnage de Tony Stark est très intéressant (c’est un peu le plus important du MCU d’ailleurs), qu’on le voit évoluer et défendre ses convictions, mais qu’il reste terriblement humain malgré tout (avec un grand coeuuuur)(caché derrière un réacteur arc). Et parce que j’aime quand ça fait BOUM, eh ouais c’est comme ça.

Allez, bisous !

11 réflexions sur “[Le MCU pour les nuls #1] Iron man

  1. C’est un super article, je ne sais pas si tu vas faire les autres films / séries de cette manière, si c’est le cas, je t’applaudis, parce que ces articles sont super cool ! J’aimerais revoir les Iron Man, ce sont les trois premiers Marvel que j’ai vu et ça date désormais… Ce qui est paradoxal chez moi, j’ai mon trio de super-héros préférés (Iron Man, Docteur Strange et Ant-Man) et excepté Docteur Strange, je suis moins emballée par les films Iron Man et Ant-Man, je les trouve très cool, drôle, sympathique à voir, prenant… mais je préfère les Gardiens de la Galaxie, Black Panther et Thor côté films. En tout cas, Tony Stark reste un personnage formidable, RDJ fait un Tony Stark inoubliable et parfait dans ce rôle.

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    1. Oh merci beaucoup pour ce retour encourageant 🤗 ça m’a pris beaucoup de temps mais j’ai trouvé ça cool à faire, donc je vais essayer de continuer 😁
      Ah oui c’est marrant, mais je peux comprendre ! Parfois les personnages sont mieux mis en valeur dans les films communs que dans leurs propres films ^^

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  2. Quel super article 🙂
    ça permet de revoir le film sans le revoir, c’est si pratique 😉 et super drôle en plus!
    J’espère que tu vas continuer 😀 et j’ai hâte de lire le résumé de Captain America (vas tu te retenir sur les commentaires de sourcils,.. suspense!) 😀

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  3. Ton article m’a bien fait rire! (quoi? ce n’était pas le but???)
    J’ai prévu de me refaire le MCU cette année aussi dans le cadre de l’ouverture d’Avengers Campus (un bon prétexte, je dois l’avouer). Mais par contre, je ne les apprécie pas tous donc certains vont être survolés plus qu’autre chose….

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    1. Non non c’était un article parfaitement sérieux voyons 😇😂
      Ouiiiii très bon prétexte, j’approuve. Et je suis comme toi, y en a même certains que je déteste presque (Hulk et le premier Cap pour ne citer qu’eux 😁), du coup j’ai du mal à me décider à les revoir une énième fois 😅

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      1. Je suis désolée pour Peggy que j’aime de tout mon cœur (malgré ses choix douteux en matière de mecs 😁)
        Ouais alors Thor 2 je l’aime bien juste pour la relation Thor/Loki, parce que sinon y a pas grand chose à sauver, et je suis aussi d’accord pour Ultron. Par contre j’adore Iron man 3, mais je sais à quel point je suis à contre-courant sur cet avis-là 😂😂

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